La pétanque tunisienne poursuit sa montée en puissance sur la scène internationale. Après avoir brillé récemment aux Jeux Mondiaux de Chengdu 2025 grâce aux exploits de Mouna Béji et Khaled Bougriba, auteurs de deux médailles d’or, la sélection nationale se prépare désormais à un autre rendez-vous majeur : le Championnat du Monde de Rome 2025.
Une préparation active en France
Le jeudi 28 août, la délégation tunisienne s’est envolée pour Lyon, invitée par le Consulat de Tunisie, la Municipalité de Bron et le Club de Bron. Cette étape constitue une préparation stratégique en vue du Mondial romain. Sous la direction du membre fédéral Walid Jammâi et l’encadrement du sélectionneur national Moamer Cheihawi, la Tunisie sera représentée par :
- Chez les dames : Mouna Béji, Asma Belli, Ahlam Sassi
- Chez les hommes : Majdi Hmami, Sofiane Ben Brahim, Khaled Bougriba
Le cas du Maroc : incertitudes en série
Si la Tunisie avance avec ambition, la situation est plus compliquée pour un autre grand pays de pétanque maghrébine : le Maroc. Selon plusieurs sources, la Fédération marocaine pourrait ne pas être en mesure d’aligner ses sélections aux prochains championnats du monde, à commencer par Rome, mais aussi Douai (France) et Isla Cristina (Espagne). Une absence qui constituerait un coup dur pour le rayonnement régional et pour l’équilibre des compétitions, tant le Maroc a toujours été un acteur incontournable de la pétanque mondial.
L’Afrique veut continuer de briller
Entre la Tunisie, auréolée de succès récents, et le Bénin, porté par les performances de Marcel Gbétablé, l’Afrique affiche clairement son ambition : devenir un acteur central de la pétanque mondiale. Le Mondial de Rome s’annonce comme un nouveau test de vérité, où les boulistes africains comptent confirmer leur suprématie grandissante.
La Tunisie en route vers le Mondial de Rome, entre ambitions et incertitudes régionales
La pétanque tunisienne poursuit sa montée en puissance sur la scène internationale. Après avoir brillé récemment aux Jeux Mondiaux de Chengdu 2025 grâce aux exploits de Mouna Béji et Khaled Bougriba, auteurs de deux médailles d’or, la sélection nationale se prépare désormais à un autre rendez-vous majeur : le Championnat du Monde de Rome 2025.


Une préparation active en France
Le jeudi 28 août, la délégation tunisienne s’est envolée pour Lyon, invitée par le Consulat de Tunisie, la Municipalité de Bron et le Club de Bron. Cette étape constitue une préparation stratégique en vue du Mondial romain. Sous la direction du membre fédéral Walid Jammâi et l’encadrement du sélectionneur national Moamer Cheihawi, la Tunisie sera représentée par :
- Chez les dames : Mouna Béji, Asma Belli, Ahlam Sassi
- Chez les hommes : Majdi Hmami, Sofiane Ben Brahim, Khaled Bougriba
Une équipe équilibrée, alliant expérience internationale et jeunes talents, prête à défendre haut les couleurs de la Tunisie.
Le cas du Maroc : incertitudes en série
Si la Tunisie avance avec ambition, la situation est plus compliquée pour un autre grand pays de pétanque maghrébine : le Maroc. Selon plusieurs sources, la Fédération marocaine pourrait ne pas être en mesure d’aligner ses sélections aux prochains championnats du monde, à commencer par Rome, mais aussi Douai (France) et Isla Cristina (Espagne). Une absence qui constituerait un coup dur pour le rayonnement régional et pour l’équilibre des compétitions, tant le Maroc a toujours été un acteur incontournable du boulingrin mondial.
L’Afrique veut continuer de briller
Entre la Tunisie, auréolée de succès récents, et le Bénin, porté par les performances de Marcel Gbétablé, l’Afrique affiche clairement son ambition : devenir un acteur central de la pétanque mondiale. Le Mondial de Rome s’annonce comme un nouveau test de vérité, où les boulistes africains comptent confirmer leur suprématie grandissante.